Dacia : les raisons de leur attractivité sur le marché français

La filiale roumaine du constructeur automobile français Renault a du plomb dans l'aile. Depuis de nombreuses années déjà, elle bat ses records de vente en France, où son nombre d'amateurs ne cesse d'augmenter. Retrouvez pourquoi la marque de voiture fait un carton dans l'Hexagone ci-dessous.

Rouler avec style à moindre coût !

Sans doute l'argument qui revient le plus souvent dans la bouche de propriétaires de Dacia. En effet, la marque brille beaucoup car elle propose des modèles de bonne qualité à des prix compétitifs. L'un des modèles phares la Dacia "Duster" se présente comme un SUV compact, de petite taille et esthétique, parfait en ville comme à la montagne. La Dacia "Sandero" quant à elle se présente comme une citadine familiale. L'objectif de Dacia est de proposer des produits qui font beaucoup plus "chers" que leur prix réel. Les français aiment ces modèles pour leur esthétique, la qualité "Renault" et pour se la péter sans trop dépenser !

Une marque récente ?

Pourquoi les français adorent Dacia ? C'est une jeune marque, du moins sous sa nouvelle forme suite à son rachat par Renault en 1999. Toutes les gammes de produits qu'elle propose sur le sol français sont des modèles récents d'assez bonne qualité à bas prix, donc les modèles en occasion seront logiquement encore moins cher, ce qui est assez vite attractif pour le client français. Dacia profite d'une certaine bonne image de sa marque.

Les caractéristiques Renault ?

Chez Dacia, vous trouverez des véhicules aux équipements divers et variés, des fonctionnalités intéressantes et toutes les innovations de la maison-mère. Les concessionnaires Renault proposent également en leur sein des Dacia, ce qui rassure les acheteurs français, car ils ont l'impression d'acheter du "Renault" moins cher mais avec une qualité égale.

Acheter Dacia est-ce vraiment un achat malin ?

En résumé, acheter un modèle de voiture chez Dacia, c'est être d'accord avec le système de production bon marché, encourager la délocalisation de nos industries en Europe de l'Ouest et le maintien de salaires toujours plus bas.